10 réflexions au sujet de « 5 pistes pour (ENFIN) éviter les crises »

  1. Merci pour ces éclairages, inspirants et pratiques !
    Je m’y retrouve avec mes bases de communication non-violente, utiles aux adultes (à soi, à son couple…) et praticables avec les enfants bien-sûr !
    A ce propos, Thomas d’Ansembourg utilise les termes d’émotions agréables ou désagréables plutôt que positives et négatives, et je préfère également, car ça ne pose pas de jugement de valeur sur l’émotion selon moi. Mais je vais peut-être trop loin :-)

    Belle référence au livre « j’ai tout essayé », c’est une super sélection pour ce thème. Je l’offre à tous les jeunes parents ces derniers temps.

    Merci encore pour ce bel article qui éclaire toutes les facettes du sujet, même les plus sombres !

    1. Merci beaucoup Charlotte, pour ton enthousiasme et pour tes apports précieux !
      Je suis tout à fait OK avec la nuance « agréable/ désagréable » en effet, c’est juste ce qu’on ressent. Quand au livre, oui, moi-même je prête souvent le mien ;) et je vois qu’il est en rupture de stock :) MERCi à toi.

  2. Bonjour Céline, et bravo pour ton article, il est important d’aider son enfant à gérer ses émotions, lui permettre surtout de les exprimer et l’accompagner lorsqu’il se sent dépassé par ses émotions.
    Je rejoins Charlotte dans son commentaire, à mon sens il n’y a pas d’émotion positive et négative, toutes les émotions sont saines surtout si elles peuvent être exprimées, elles permettent de se construire, d’avancer dans la vie, de faire des deuils, de s’affirmer etc… là où cela peut poser des problèmes c’est lorsque nous refoulons nos émotions, lorsqu’elles nous envahissent ou qu’elles nous dépassent où cela peut créer à la longue des angoisses entre autres. Et tu as raison d’aborder le sujet sur la violence et comment aider à la résoudre.
    Merci d’avoir proposé ce thème avec ton article très intéressant et instructif.

  3. Merci beaucoup Michèle pour tes apports ! Je suis tout à fait en phase :)
    « Ce qui ne s’exprime pas , s’imprime ».
    J’utilise souvent le mot positif, dans le sens « constructif » mais une émotion désagréable est compatible avec quelque chose de constructif… Oh la la, ça ferait un bon sujet de philo.

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